Oncologie
Objectifs:. Approcher les particularits cliniques et thrapeutiques des tumeurs ovariennes la limite de la malignit de lovaire dans un centre hospitalier du centre tunisien. Patientes et mthodes:. Nous avons effectu une tude rtrospective comprenant 24 cas de tumeurs ovariennes la limite de la malignit (TOLM) diagnostiques et prises en charge au service de gyncologie obsttrique du CHU Farhat Hached...
La dtermination du niveau dexpression du REGF prsente un intrt de premier ordre dans les cancers colorectaux puisquelle est la fois synonyme de valeur pronostique par elle-mme, quelle permet une meilleure orientation de traitement, et quelle offre de plus la possibilit dun traitement cibl hautement spcifique anti-REGF. In vitro, pour les cancers colorectaux, lassociation dinhibiteurs de tyrosine kinase...
Dans le Schma rgional dorganisation sanitaire de 2e gnration de fvrier 2001 de la rgion PACA (SROS2), la mise en place dUnits de concertations pluridisciplinaires en oncologie a t encourage. Cette enqute dresse ltat des lieux de ces units en dbut de mise en place du SROS2. Un questionnaire a permis de recueillir des donnes dclaratives quantitatives et qualitatives. Il existe 131 UCPO en rgion PACA...
Les anticancreux sont lune des premires classes de mdicaments impliqus dans la pathologie iatrogne. Les donnes de la pharmacovigilance franaise montrent que les cas notifis pour les mdicaments anticancreux ne reprsentent quune partie des effets indsirables rellement survenus. Cependant, lexemple de la mitoxantrone illustre lintrt pratique de la notification des effets indsirables. Un rappel de lorganisation...
Patients et mthode:. Tout patient g de plus de 18 ans trait pour une tumeur solide ou lymphome ayant une hmoglobine infrieure ou gale 12 g/dL reoit un traitement par rythropotine (EPO). Le traitement est de rH-EPO 20 000 UI SC une fois par semaine. Les patients gs de plus de 70 ans recevaient de faon arbitraire darbepotine 150 U SC une fois tous les 15 jours. Lvaluation portait sur le nombre de patients...
Cette tude a t faite par les patientes et pour elles, partir de critres valuables. La qualit de vie des patientes atteintes dun cancer du sein est devenue une proccupation croissante du thrapeute. Loriginalit de cette enqute multicentrique mene en 2002 auprs de 1 000 patientes de chirurgiens snologues seniors, est davoir t faite par les patientes elles-mmes. En dehors de toute sollicitation, sans...
Le manque de lits daccueil en units fixes ou mobiles de soins palliatifs oblige les quipes soignantes oncologiques dvelopper un concept propos par Calman Hine en 1995, consistant en lintgration de soins palliatifs de qualit au sein mme des services curatifs de cancrologie. Dans ce but, un service doncologie et une unit de soins palliatifs ont cr une runion rgulire de prsentation de dossiers de patients...
Les fluoropyrimidines orales se caractrisent par lassociation ou pas un inhibiteur de dihydropyrimidine deshydrogenase (DPD). Le tegafur-uracile (UFT) comporte un inhibiteur comptitif de la DPD qui est luracile alors que ce nest pas le cas pour la capcitabine qui est dpourvue dun inhibiteur de DPD. Les fluoropyrimidines orales diffrent entre elles par leur mode dactivation, leur profil pharmacocintique...
Les concepts de continuit et de globalit des soins sont reconnus aujourdhui par tous comme inhrents la mdecine moderne. Un groupe de travail sest runi pour proposer des modles de coordination des soins de support pour toutes les maladies graves dans les diffrents tablissements de soins privs et publics. Les soins de support sont: lensemble des soins et soutiens ncessaire aux personnes malades, paralllement...
Alors que le traitement de premire ligne du cancer de lovaire de stade avanc est actuellement bien dfini, celui du cancer en rechute est plus difficile apprhender. La rponse la chimiothrapie premire combinant le paclitaxel un sel de platine et sa dure conditionnent la rponse au traitement de seconde ligne. Lors dune rechute tardive, lassociation carboplatine-paclitaxel a encore sa place comme chacune...
Les systmes de prise en charge collective des dpenses de sant, quils soient organiss sur la base de lAssurance (systmes bismarckiens) ou sur le modle du Systme national de sant (systmes beveridgiens), sont tous soumis de vives tensions financires par le renforcement dun certain nombre de tendances lourdes contemporainesdveloppement exponentiel des capacits dintervention de la mdecine, vieillissement...